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Les résistants tombés au Limbourg NL
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Ysselsteyn u-01-02
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Hein Nobis est né à Gangelt, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, près de la frontière néerlandaise, et son père était allemand. Ses parents ont déménagé à Merkelbeek et son père a été naturalisé néerlandais. Pour des raisons inconnues, Hein n’est pas devenu néerlandais et a aussi perdu sa nationalité allemande. Il est devenu prêtre catholique romain en 1938 et a commencé comme prêtre assistant ( kapelaan, vicaire ) à Vijlen, avant d’être envoyé à Simpelveld au bout de trois ans. Entre-temps, la guerre et l’occupation allemande ont commencé. Comme la plupart des ecclésiastiques néerlandais de l’époque, Hein lui aussi était antinazi et l’exprimait dans ses sermons. Un nazi néerlandais s’en offusqua et le dénonça aux Allemands après un sermon sur la sanctification du repos dominical. Les Allemands se rendent compte que Hein n’est pas néerlandais et qu’il est d’origine allemande et le classent dans la catégorie des Allemands ethniques ( Volksdeutsche ). Il est appelé au service militaire et envoyé sur le front de l’Est en tant qu’infirmier. Il survit à Stalingrad, mais est tué en Ukraine alors qu’il mettait en place un hôpital de campagne. [1][3]
Lire également l’article : La triste mort du vicaire Hein Nobis de Simpelveld [2].
La photo est tirée d’un texte de Jean Mordant de Vijlen ( professeur à l’école catholique de garçons de Simpelveld de 1955 à 1960 ), qu’il a publié dans le livre : ’40 - ’45, de jaren tussen Einmarsch en Bevrijding ( les années entre l’invasion et la libération ) qui fut publié en 1994 par Heemkundekring Sankt Tolben à Vaals. Vous pouvez lire le texte original sur www.simpelveld.nl [1] et dans
DE BONGARD, Revue de la Société d’histoire locale De Bongard Simpelveld-Bocholtz, année 11, n° 1, mars 1999, p.21 [3]
Notes