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Limburg 1940-1945,
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Les résistants tombés au Limbourg NL
Dans sa jeunesse, il était actif dans le mouvement de jeunesse. Lorsqu’il fut astreint au service militaire, il était un ouvrier occasionnel. A partir du 2 septembre 1937 dans le 3e régiment d’artillerie de campagne à cheval, où il accède au grade de wachtmeester (~ sergent). Après la reddition de l’armée néerlandaise en mai 1940, il est démobilisé. Est devenu membre du groupe Smit, qui attirait initialement principalement d’anciens soldats. Après la guerre, son père disait qu’il avait l’intention d’aller en Angleterre. Selon le registre d’entrée de la prison de Maastricht, il était alors livreur de pain. ( Source : sa biographie sur heemkundehoensbroek.nl, voir lien ) [1])
Dans son dossier à l’OGS, il est également livreur de pain, à savoir à la boulangerie de gros ODB (Ons Dagelijks Brood, = Notre pain quotidien) à Heerlen. [2#2]
Arrêté le 13 février 1942 pour appartenance au groupe Smit, mais pas d’actes de résistance individuels connus. [2#2]
Puis, via Maastricht et Amersfoort, à Oranienburg, où il mourut selon l’acte de décès n° 1o23/1943 de l’état civil daté du 25 mars 1943 le 2 mars 1943 à 5 heures 30 minutes. [2#12]
Selon Cammaert, il mourut le 6 mars 1943. [3]
De telles différences dans la déclaration de la date du décès dans un camp de concentration sont courantes. Par exemple, parce que quelqu’un.e était encore vu.e alors que l’administration du camp l’avait déjà déclaré mort.e. Parfois, on ne sait même pas dans quel camp de concentration quelqu’un.e est mort.e, surtout si c’était vers la fin de la guerre.
Dans la plupart des camps de concentration il y avait des fours crématoires. Naturellement, il n’y a pas non plus de tombe individuelle, comme dans le cas présent : Pas de lieu de sépulture connu. [2#9][4]
Son nom figure sur le mémorial de guerre Hoensbroek [5].
Selon le site erelijst.nl, il était mineur :
Karel Joseph Diederen figure dans l’Erelijst 1940-1945 ( liste d’honneur du Parlement néerlandais ). [6]
Notes