Eugène Roomberg (Eugène Marie Herman Martinus)
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Eugène Marie Herman Martinus Roomberg est inscrit au mémorial de la Résistance de la province de Limbourg (NL) sur la
paroi de gauche, ligne 35 #01


Monument aux morts à Aachen-Eilendorf

Limburg 1940-1945,
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Les résistants tombés au Limbourg NL

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Eugène Roomberg
(Eugène Marie Herman Martinus)


 14-03-1905 Amsterdam      13-02-1947 Maastricht (41)
- Presse clandestine - Artistes - Maastricht -



Maastrichtse Gevelstenen

    Eugène Roomberg était un artiste : aquarelliste, peintre et illustrateur. Sa période productive s’est déroulée à partir de 1920. [1]
    Sauf indication contraire, les informations ci-dessous proviennent de la courte biographie sur struikelsteentjes-maastricht.nl [2.1] et d’un film enregistré lors de la pose de la pierre d’achoppement devant sa maison. [2.2]
    Études à la Tekenacademie à Anvers et à la Rijksakademie voor beeldende kunsten à Amsterdam. Il travaillait principalement à Maastricht, où il commença en 1937.
    Eugène est membre du Limburgse Kunstkring ( Cercle artistique du Limbourg ) [3] et, après sa démobilisation en 1940, il participait à la résistance locale, qui n’était pas encore très organisée. Il distribuait de l’argent aux artistes qui étaient au chômage parce qu’ils avaient refusé d’adhérer à la Kultuurkamer. Pour plus d’informations, cliquez sur le lien Artistes.
    Il n’est pas précisé qui a financé cette aide financière. Le Fonds national de soutien ( Nationaal Steun Fonds, NSF, [4.1] ) n’ayant pas encore été créé, il convient de prendre en considération le Fonds pour des besoins spéciaux ( Fonds voor bijzondere noden ) du diocèse de Roermond, qui existait déjà à l’époque. Ce fonds est également mentionné dans l’histoire de Valkenburg. [4.2]
    Il fut arrêté dès le mois d’octobre 1940 lorsqu’un ami et collègue, en état d’ébriété, avait grondé les occupants devant le gérant allemand du café De Momus sur la place Vrijthof. Il s’est ensuite avéré qu’il hébergeait des pilotes et distribuait de la littérature clandestine.
    Après un séjour de trois mois dans une prison allemande inconnue, Roomberg est emmené à l’Oranje-Hotel à Scheveningen. [5]
    C’était le 22 janvier 1941, où il fut torturé, délibérément infecté par la tuberculose et puis relâché. À un moment donné, toute sa famille était infectée par la tuberculose. Mais il continuait son travail de résistance du mieux qu’il le pouvait.
    Après la guerre, au début de 1946, la Nederlandse Federatie van Beroepsverenigingen van Kunstenaars ( Fédération néerlandaise des associations professionnelles d’artistes ) est née de la résistance des artistes, rebaptisée en 1972 Federatie van Kunstenaarsverenigingen ( Fédération des associations d’artistes ). Eugène en est naturellement membre. [1]
    Au début de l’année 1947, il succombe aux conséquences de son emprisonnement.
    Il laissa à son petit fils ces mots :
    Flippie, ton père n’a pas eu beaucoup de chance, mais j’espère que tu ne perdras jamais ton amour pour les gens. Parce que si tu perds l’amour, tu n’as rien, mais alors tu n’es rien non plus. Vidéo 6:39 [2.2]

    Notes

    1. RKD Research Eugène Roomberg
    2. Struikelsteentje Eugène Roomberg, Orleansplein 16A, Maastricht
      1. struikelsteentjes-maastricht.nl
      2. YouTube
      3. OpenStreetMap
    3. Limburgse Kunstkring, Wikipedia • Nederlands
    4. 1. Nationaal Steun Fonds (NSF), Wikipedia • Nederlands
      2. “Fonds voor bijzondere noden”, bisdom Roermond.
    5. digitaalmonument.oranjehotel.org Eugène Roomberg
    6. Mestreech online.nl
    7. https://www.maastrichtsegevelstenen.nl/0.OORLOG/oorlog2c-verzet.htm