Henri Vullinghs (Hendrik Jacob)
text, no JavaScript Log in  Deze pagina in het NederlandsDiese Seite auf DeutschThis page in English - ssssCette page en FrançaisEsta página em Portuguêstop of pageback
Hendrik Jacob Vullinghs est inscrit au mémorial de la Résistance de la province de Limbourg (NL) sur la
paroi de gauche, ligne 11 #03

Limburg 1940-1945,
Menu principal

  1. Personnes
  2. Evénements/ Contexte
  3. Groupes de la Résistance
  4. Villes et Villages
  5. Camps de concentration
  6. Valkenburg 1940-1945
  7. Les leçons de la résistance
1
1

Les résistants tombés au Limbourg NL

précédentbackprochain
 

Henri Vullinghs
(Hendrik Jacob)


 14-09-1883 Sevenum      09-04-1945 Bergen-Belsen (61)
- Résistance initiale - Aide aux clandestins - Aide aux Juifs - Les aides-pilotes - Zwarte Plak - Les ecclésiastiques - Grubbenvorst -



Het Grote Gebod – L.O.

    Curé de Grubbenvorst et curé de construction à Grashoek, a étudié la musicologie en Italie et aux Etats-Unis. Il était connu comme une personne très ouverte d’esprit et enthousiaste sur le plan culturel. Déjà au cours des années 1941 et 1942, il a commencé à aider les Juifs en collaboration avec le journaliste et social-démocrate d’Amsterdam Mathieu Smedts [1], originaire de Grashoek, et son vicaire Jean Slots. Une route d’évasion fut établi d’Amsterdam via Nancy ( Père Tim ) vers la Suisse et des adresses pour se cacher furent trouvées dans le nord du Limbourg. Même après l’arrestation de Smedts (qui a survécu aux camps), le contact avec le groupe social-démocrate d’Amsterdam est maintenu. ( Cammaert V, p.423 [2]).
    Après la fondation de l’L.O. en 1943, Vullinghs et son groupe y ont également adhéré. Il dirigait le groupe local avec H. Joosten. Le 1er mai 1944, Vullinghs fut arrêté dans la rue en face de l’église.
    Le 16 novembre 1950, le commissaire de police de la commune de Weert écrivit au Dienst Identificatie en Berging ( Service d’identification et de dégagement ) : Après son arrestation par les Allemands, il se trouva respectivement à Maastricht, Vught, Oranienburg et Belsen, où il mourut le 9 avril 1945 [3#5]
    Sur son travail dans les camps de concentration, le Dienst Identificatie en Berging susmentionné écrivit à l’OGS : Vught : polissage de cartouches alliées. A Sachsenhausen Or. dans le soi-disant bloc des diplomates - aucun travail sauf le nettoyage de la baraque ; il donnait des conférences sur la musique d’église, dirigeait une petite chorale. Belsen : aucun travail. [3#9]
    Selon Lou de Jong, il était l’un des plus grands organisateurs d’aide aux pilotes et aux clandestins de toute la province du Limbourg. Le compositeur juif Hans Lachman de Berlin, qui se cachait à Grubbenvorst, a écrit un requiem catholique en l’honneur de l’abbé Vullinghs, probablement dans les années 1950. [4]

    Notes

    1. Mathieu Smedts, Wikipedia • NederlandsDeutsch
    2. Dr. F. Cammaert, Het Verborgen FrontV. Hulpverlening aan joden
    3. Archief Oorlogsgravenstichting, Dossier Henri Vullinghs • #5#9
    4. Heinz Adolf Lachman Van Limburg Requiem
    5. Oorlogsgravenstichting.nl
    6. https://www.4en5mei.nl/oorlogsmonumenten/zoeken/1343/sevenum-monument-aan-het-julianaplantsoen
    7. Wikipedia NL: Henri Vullinghs