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Jean Cremers × Catharina Eck ⚭ 27 apr 1908
Wielke Cremers | Gerda Cremers | Joop Cremers | Jetty Cremers
L’histoire d’une famille est étroitement liée à l’histoire de la région. C’est toujours et partout le cas. Par exemple, pour la famille Schunck à Kettenis, ce fut l’essor et le déclin de l’industrie textile. À Heerlen, les Schunck étaient étroitement liés à l’exploitation du charbon. À Valkenburg, le tourisme était et reste la principale source de revenus : De plus en plus de Valkenbourgeois y trouvent leur gagne-pain.
Vers le milieu du XIXe siècle, une nouvelle source de revenus s’est développée : le tourisme. Les vacanciers et les excursionnistes découvrent l’environnement unique et encore intact dans lequel se trouve Valkenburg et visitent la ville pour y passer une journée de repos ou de courtes vacances. Au début, cette activité était réservée à quelques privilégiés, mais les trois hôtels de Valkenburg d’antan se sont rapidement multipliés. La construction de la ligne de chemin de fer d’Aix-la-Chapelle à Maastricht en 1853, avec une gare à Valkenburg, a constitué une étape importante dans le désenclavement de la petite ville du Geul, qui était jusqu’alors relativement difficile d’accès. [1]
Dans le même temps, une forme de tourisme émergeait dans de nombreux endroits en Europe, en particulier pour les plus aisés, qui était également censée avoir des effets bénéfiques sur la santé. Les villes les plus proches de ce type de tourisme étaient Spa et Aix-la-Chapelle. A Valkenburg l’on souhaitait également répondre à ce nouveau besoin et l’on pensait disposer d’un atout unique : les kilomètres de galeries souterraines des carrières de calcaire, appelées "grottes de marne". Dans ces galeries, la température est constante et l’humidité élevée tout au long de l’année. Idéal contre les maladies pulmonaires, voulait-on croire. Aix-la-Chapelle et Spa avaient leurs sources thermales, mais Valkenburg allait devenir une Luftkurort, une station climatique, un endroit où l’on pouvait se rétablir dans les grottes. Et en surface, profiter de la richesse naturelle et culturelle de la région.
En 1885, le syndicat d’initiative VVV Het Geuldal fut fondé, le premier aux Pays-Bas. En 1898, elle érigea une tour de guet en bois en 1906, le comité des thermes de Falcobergia construisit la tour Wilhelmina en marne. Pendant la période thermale 1890-1930, les ruines du château, les murs de la ville avec les portes et la nature étaient appréciés des touristes fortunés, en raison de l’idéalisation du ‘paysage magistral’. On croyait que l’air de Valkenburg était plus sain, en raison de l’absence de ‘mal-aria’ ( air vicié ). Le secteur hôtelier se développe, surtout entre le centre historique et la gare. Des familles aisées ( des ‘hollandais riches’, càd des riches du nord du pays ) ont bâti de nombreuses villas et maisons de campagne à la périphérie de Valkenburg [2]
L’un des premiers à s’engager pour le développement du tourisme à Valkenburg fut l’industriel de Tilburg Armand Diepen. [3]
Il acheta un vaste terrain de collines et de forêts à proximité de sa maison, la Villa Alpha, et y fit aménager un Rotspark (parc des rochers) durant l’hiver 1892-93. Un an plus tard, il acheta la forêt Polfer adjacente. Ses fils Karel et Jan Diepen continuaient à stimuler le tourisme en construisant les Catacombes [4] en 1910 et le théâtre en plein air en 1916 [5], c’est-à-dire pendant la Première Guerre mondiale. Le tourisme à Valkenburg a alors reçu un coup de pouce supplémentaire en raison de l’isolement dans lequel se trouvaient les Pays-Bas neutres. Le tourisme transfrontalier n’était plus possible, mais Valkenburg avait encore juste assez de charme quasiment étranger pour offrir une alternative raisonnable.
Pour réaliser leurs projets, les frères Diepen ont travaillé de manière intensive avec l’architecte Pierre Cuypers, qui a beaucoup travaillé à Valkenburg. [6]
Le résultat de ces travaux est bien connu : Valkenburg est devenu la principale attraction touristique de la région, avec 1,2 million de nuitées par an et un grand nombre d’excursionnistes. [1]
Les principales attractions touristiques sont restées les mêmes depuis un siècle : la nature qui entoure Valkenburg, le paysage urbain protégé et un grand nombre de monuments nationaux dans la ville historique elle-même, les nombreux monuments dans les villages de la commune, dont une dizaine de châteaux, plusieurs moulins à eau et plusieurs fermes carrées typiquement limbourgeoises, un certain nombre de grottes de marne et d’autres attractions touristiques ( en particulier à Valkenburg-Centre ), et les nombreuses activités qui constituent traditionnellement une attraction majeure pour les visiteurs ( notamment le carnaval, les cortèges, les foires, les marchés aux puces, les spectacles en plein air et les événements sportifs ). [7]
Catharina et Jean Cremers-Eck sont venu.e.s à Valkenburg entre la naissance de leur fille Gerda ∗ 10 september 1912 à Heerlen) et leur fils son Joop (∗ 7 juni 1915 à Valkenburg, donc pendant la première guerre mondiale). Jean y est devenu enseignant à la MULO pour garçons et il a également aidé des réfugiés belges. Un million de Belges sont venus aux Pays-Bas pendant la Première Guerre mondiale (Wikipedia hollandais) et beaucoup d’entre eux à Valkenburg. Une pandémie de grippe espagnole a éclaté à la fin de la guerre en raison des nombreuses personnes affaiblies qui se déplaçaient partout en Europe.
A la Muntstraat à Valkenburg, sa femme Catharina Cremers-Eck a ouvert une pension de famille, en collaboration avec quelques voisin-e-s, où les client-e-s ont passé la nuit. Au numéro 7 se trouvait la salle à manger, la réception et la résidence privée de la famille Cremers. C’était l’origine de l’hôtel Cremers.
Christine Schunck a écrit à propos de cette photo:
« Gerda et Joop avaient une chambre noire derrière la terrasse de la pension dans la grotte calcaire sous la ruine du château ( l’entrée est visible sur cette photo de 1927/28 ). »
Il n’était pas étonnant que Jean Cremers ait également été victime de la grippe espagnole. Il n’est plus possible de savoir si la décoration royale était liée à sa maladie.
Avant d’apprendre plus sur l’histoire courte mais puissante de l’hôtel Cremers, nous y aurons une impression plus personnelle par les souvenirs de Jetty van Zutphen-Cremers, qui a grandi dans l’hôtel. Elle les a écrit beaucoup d’années plus tard, en partie vu avec les yeux de la petite fille, qu’elle était encore à cette époque, en partie avec ceux de l’historienne de l’art, qu’elle serait plus tard.
« Beaucoup d’années de bonne santé avec Pierre »
je te souhaitais déjà. La fête est fini maintenant.
Maintenant, j’aimerais attirer l’attention sur la relation qui existait et existe toujours entre nous deux.
Quand je suis né à Valkenburg, Muntstraat 7 le 4 juin 1923, tu avais plus de 10 ans. C’était la saison haute. Tu avais probablement le job de t’occuper de moi. Et tu as continué à le faire.
Quand j’étais une petite fille, je l’ai trouvé génial d’avoir une si grande sœur qui pouvait tellement bien jouer de l’accordéon, piano et violon. C’était encore plus une fête, quand Piet Bos est venu avec son saxophone. Je pense que je sais toujours exactement où le piano était. Dans le véranda. Vue de l’extérieur, dans le coin de gauche. Est-ce vrai?
Toi, en tant que ma sœur aînée, ne t’occuperais pas seulement de moi. Tu devais aider dans l’hôtel tôt. Tu as apporté ta contribution qu’en ’29-’30 un nouvel hôtel pouvait être construit. Wielders de Sittard était l’architecte. Il a appliqué les principes du mouvement De Stijl. Tu te souviens des chaises et des tables dans la salle d’entré ? Les couleurs contrastantes et les superficies colorées dans la salle de conversation ? Maintenant, l’hôtel est complètement détraqué. C’est horrible.
Les années trente. Lorsque les temps sont mauvais, cela affecte bientôt aussi le secteur de l’hôtellerie. Toi, et Wielke au bureau, vous avez aidé à faire avancer les choses. ( Jopie pouvait étudier, et moi j’étais trop petite ).
Le pivot, la force motrice derrière tout était maman.
Elle se leva première et alla se coucher dernière. Elle pouvait cuisiner comme les meilleurs. Aucun cuisinier ne l’a jamais dépassé. Mais surtout, elle était une bonne mère. Sais-tu que j’appelle encore « Maman ! », quand quelque chose de grave arrive à moi ?
Chère Gerda, beaucoup de gards t’ont trouvé adorable. Il y avait beaucoup de candidats - dix pour chaque doigt - qui voulaient mettre le grappin sur toi. Pascal Randou a presque réussi.
Pierre Schunck a réussi complètement. Il s’est enfui avec toi. Oui, c’est comme ça que nous l’avons vécu lorsque tu es partie. Pour moi c’état très grave. Mais au moins, tu étais encore à Valkenburg. Et tu as toujours eu du temps pour nous.
Pierre Schunck est toujours ton compagnon quotidien. Depuis 56 ans. Pierre et toi, vous avez eu une vie fertile. Non seulement en termes de qualité et de nombre d’enfants. Votre vie a également porté ses fruits à d’autres gens.
Tu étais toujours là, quand j’en avais besoin, en paroles et en actes.
Gerda, tu as grande importance pour moi depuis toujours!
Peux-je te remercier pour tout ?
Ta sœur
Jetty
L’hôtel Cremers fut construit à la fin des années vingt du vingtième siècle dans le style de l’École d’Amsterdam et il fut ouvert la Pentecôte 1930.
Selon Jetty Cremers, qui a grandi dans l’hôtel et étudié l’histoire de l’art après, le bâtiment a le style du mouvement De Stijl Je mentionne cela sans aucun commentaire supplémentaire.
Selon les normes de l’époque, il était très confortable.
L’architecte était Jos Wielders,
∗ 03/09/1883, † 30/04/1949.
Beaucoup de ses œuvres sont décrites comme expressionnistes. Il a également conçu la célèbre tour d’eau près de Schimmert.
Ses clients étaient Jean Cremers (1878-1947) et Catharina Cremers-Eck (1882-1950). Catharina l’a financé principalement avec les revenus de sa pension de famille à la Muntstraat 7, voir ci-dessus. Elle a également eu la gestion quotidienne dans l’hôtel, car Jean Cremers était déjà handicapé à cette époque par les conséquences de la grippe espagnole. Cependant, il a dû signer tous les documents financiers car jusqu’en 1957, les femmes mariées en Hollande n’étaient pas complètement douées en affaires.
Pendant cette période, Catharina savait déjà qu’elle resterait sans successeur dans l’hôtel. Elle avait espéré que sa fille Gerda prendrait la direction un jour. Selon sa propre déclaration, celle-ci aurait aimé le faire. Elle avait aidé à mettre en place l’hôtel et avait ainsi appris tout ce qu’une hôtelière doit savoir et pouvoir. Mais elle s’était mariée le 3 octobre 1936. Son mari, Pierre Schunck, aurait dû être impliqué. Mais il n’avait aucune ambition réelle dans cette direction, parce qu’il n’était tout simplement pas le genre d’homme pour cela.
Pendant l’occupation, les Allemands saisirent un certain nombre d’hôtels à Valkenburg pour leur personnel dans la région. D’entre eux l’Hotel Cremers.
Le couple Cremers-Eck savait maintenant que son temps dans l’hôtel était terminé. Ils ont déménagé à la Grote Straat (aujourd’hui Grotestraat Centrum). Ils vivaient au-dessus d’un magasin, en face de la mairie de l’époque, aujourd’hui musée régional. Parce que les soldats allemands y entraient et sortaient, la grand-mère n’a pas permis à ses petits-enfants de se tenir près de la fenêtre avec un verre de limonade orange. C’était un bel appartement. Ils y vivaient encore après la guerre, jusqu’à ce que la maison de Plenkertstraat 92a (ancien numéro de maison) soit finie.
Cette maison fut construite sur le terrain de la blanchisserie P.Schunck, Plenkertstraat 92. L’architecte était le même Frits Peutz, qui avait également conçu le Palais de verre à Heerlen. Il devrait devenir la résidence du couple Cremers-Eck et leurs filles non mariées. Peter Schunck, qui a commandé sa construction, était le beau-père de Gerda Cremers, donc le père de Pierre Schunck, qui était le directeur de la blanchisserie.
Nous ne savons pas encore quelle construction contractuelle est à la racine de ceci. Selon le certificat de propriété ci-dessous, le 20 avril 1953 Mme F.J.H.M.Dohmen-Schunck de Heerlen était le propriétaire. Qui est-ce? La fille de Peter, Maria Leonie Christina Schunck, appelée Christine, avait des initiales complètement différentes, mais aucune autre Mme Dohmen-Schunck n’est connue dans la famille de Peter Schunck. Pourtant, cela devait avoir à faire avec cette famille, ce qui témoigne également le fait que les pierres ont été livrées par la carrière Kunrader Steengroeve en Kalkbranderij P.Schunck.
Une hypothèse : quand les Allemands ont été chassés de Valkenburg en Septembre 1944, l’hôtel était libre aussi. Parce que Catharina était maintenant trop vieille pour continuer l’exploitation de l’hôtel, ce fut l’occasion idéale de le vendre. Acheteur était la famille du mari de sa fille Gerda, en les personnes de Peter Schunck et sa fille Christine. La contrepartie était-elle peut-être une rente viagère avec du logement gratuit? Comme mentionné, c’est jusqu’à présent une hypothèse, qui en outre n’explique pas la question des initiales. D’autres recherches auront plus de clarté. Par les nouveaux propriétaires, l’hôtel a été loué à la famille Cobbenhagen, qui l’a exploité de 1945 à 1954, voir ci-dessous.
Jean Cremers est décédé le 2 mai 1947, avant le déménagement à Plenkertstraat 92a, à l’âge de 68 ans, après une invalidité longue et croissante à la suite de la grippe espagnole. Catharina Cremers-Eck et sa fille Wielke Cremers vivaient à la Plenkert de 1947 à 1949. Jetty avait déjà déménagé en août 1948 à l’occasion de son mariage.
Catharina et Wielke ont déménagé à Bogaardlaan 7 à Valkenburg à la fin de 1949, lorsque Pierre et Gerda Schunck-Cremers sont revenus de Bonaire et ont dû vivre quelque part. La mère et sa fille sont mortes en 1950.
Dans un article de la dernière édition de 2016 du magazine trimestriel KIJK op Valkenburg, publié à Valkenburg, sur l’hôtel Vue des Montagnes - maintenant Hôtel Vue - à Houthem, on peut lire que la famille Cobbenhagen exploitait cet hôtel de 1945 à 1954.
D’après l’acte notarié du 20 avril 1953, l’hôtel avait déjà été vendu en ce moment là par Christine Schunck, belle-sœur de Gerda Schunck-Cremers. Nous ne savons pas quand et dans quelles circonstances elle l’a acheté. La famille Cobbenhagen l’a exploité en tant que loueurs. Ensuite, l’hôtel fut acheté par la famille Austen. Ils ont continué l’exploitation jusqu’au début des années 90 du siècle dernier. Ensuite, l’hôtel reçoit le nom Parkzicht.
En 2014, l’hôtel déjà abandonné fut fermé par le maire en raison d’une plantation de chanvre trouvée dans la cave. Après la fin de la fermeture forcée (6 mois), un nouveau propriétaire a commencé la reconstruction et la rénovation du bâtiment. Ce sera l’un des bijoux de Valkenburg à nouveau!
Le contenu du texte ci-dessus est principalement la compilation d’une correspondance entre un beau-fils et certains enfants de Gerda et Pierre Schunck-Cremers, complétés par des recherches propres. Cette correspondance est montré ci-dessous, trié selon les questions du beau-fils mentionné et les réponses à ce sujet. Il est intéressant pour ceux qui veulent lire les formulations exactes, car l’essentiel est déjà écrit ci-dessus.
Ce ne sont pas des données sensibles, il s’agit uniquement de personnes qui ne sont plus en vie, ce qui signifie aussi que personne ne vit encore aux adresses indiquées. Par conséquent, cette page est généralement accessible. Les frères et sœurs participant-e-s ont reçu un numéro au lieu de leur nom, car elles-ils sont toujours en vie.
Il commence par un courriel du 8 septembre 2012, avec quelques questions sur Hotel Cremers et ses propriétaires, le couple Catharina Eck, 1882–1950 et Jean Cremers, 1878–1947, à leurs descendants. À ce sujet, il y a eu quelques réponses au cours des années.
Hun kleinkind 1 schrijft op 11 sep. 2012:
Ik weet nog heel goed dat opa, oma en tante Wielke in de Grote Straat woonden, boven de zaak van de fam. Smeets, meen ik. Dat was een mooie grote verdieping; ze hebben daar ook nog na de oorlog gewoond, totdat het huis in de Plenkert klaar was. Dat huis is gebouwd voor opa, oma en hun 2 dochters, Wielke en Jetty, op initiatief van pa. Hoe dat met de kosten zat weet ik niet. Jetty is vanuit dat huis getrouwd in 1948; maar ze woonde toen al niet meer echt thuis.
De huizen in Meerssen zijn door opa Schunck gebouwd voor zijn twee oudste dochters: Jos en Lou, inderdaad met steen uit zijn eigen groeve in Kunrade. Tante Jos (moeder van Otto) heeft er niet lang gewoond maar de fam. Janssen zoals jullie weten wel.
Ze is ziek geworden en is niet lang na oma overleden in 1950.
Oma en tante Wielke zijn vanuit het Kunradersteenhuis in de Plenkert verhuisd naar de Bogaardlaan omdat onze familie terug kwam uit Bonaire en ergens gehuisvest moest worden. De wasserij was inmiddels verkocht aan Hennekens.
Voor de fam. Cremers heeft er nog iemand anders gewoond, maar dat weet Jean misschien nog wel.
22-10-2016. Een ander familielid schreef in dit verband:
Beste familie,
In het laatste nummer van het Valkenburgse kwartaalblad ‘Kijk op Valkenburg’ staat een uitgebreid artikel gepubliceerd over Hotel Vue des Montagnes – tegenwoordig Hotel Vue – in Houthem.
Bij het lezen van dit stuk kwam ik een korte passage tegen waarin gesproken wordt over hotel Cremers, het hotel van jullie grootmoeder (zie laatste tekstblok meegezonden bijlage). Hierin staat vermeld dat de fam. Cobbenhagen dit hotel exploiteerde van 1945 (?) tot 1954. Daarna gaat de exploitatie over naar de familie Austen, die deze voortzetten tot begin de jaren negentig in de vorige eeuw. Vervolgens krijgt het hotel de naam ‘Parkzicht’.
Pieter Austen, advocaat te Valkenburg …, liet me weten dat zijn ouders het hotel kochten van Peter Schunck (datum tansportakte moet ik nog opvragen). Pieter heeft na de beëindiging van de hotelexploitatie nog enige tijd kantoor gehouden in een deel van het hotelgebouw.
Wat ik weet is dat hotel Cremers door jullie grootmoeder is gebouwd in de dertiger jaren. In die dagen een zéér emancipatoire daad! Het gebouw had de kenmerken van de Amsterdamse school en was voor die tijd zeer comfortabel.
Twee jaar geleden werd het niet meer in gebruik zijnde hotel door de burgemeester gesloten wegens een in de kelder aangetroffen wietplantage. Nadat de gedwongen sluiting (6 maanden) was opgeheven, is een nieuwe eigenaar begonnen aan de restauratie en renovatie van het gebouw. Het wordt weer een van de pareltjes in Valkenburg!
M.b.t. het hotel heb ik een aantal vragen, waarop jullie mogelijk een antwoord kunnen geven.
(Klik op een vraag en je komt bij het antwoord terecht. Als je daar ook weer op de vraag klikt, kom je hier terug. Voor de kleurencode over de auteurs van de antwoorden, zie iets verder beneden.)
Ik hoop dat bij jullie enige kennis aanwezig is waarmee antwoord gegeven kan worden op bovenstaande vragen.
Groeten,
…
De antwoorden op deze vragen zijn vooral afkomstig van de onderstaande personen, in volgorde van leeftijd. Ze zijn niet alleen door de kleur van de tekst van elkaar te onderscheiden, maar ook door met de muis over de tekst te bewegen, wanneer je een groot beeldschrem hebt.
kleinkind
kleinkind 3
kleinkind 5
Hier en daar is deze volgorde ook nuttig in de tekst, omdat de informatie van kleinkind 5 die van de anderen voor een deel corrigeert.
[…]
Opa Cremers was leraar/onderwijzer aan de ULO/MULO in Valkenburg. Hij was actief in het verenigingsleven in Valkenburg. Zo was hij betrokken bij het openluchttheater en Rotspark, VVV etc. Hij was op het einde erg ziekelijk en is eerder opgehouden met werken. […] Hij heeft nooit in de Plenkertstraat gewoond. […]
Beste …,
Gisteren heb ik al gewezen op mijn artikel in Het Land van Herle, jaargang 65 (2015), nr.3, p.98-126, waarin 4 pagina’s gaan over hotel Cremers en de eerste eigenaars. Het nr. is nog voor 5 euro te bestellen bij de redactie van het tijdschrift. Nu je 7 vragen, voor zover mogelijk, want in het archief van Pierre Schunck en Gerda Schunck-Cremers zitten geen financiële stukken.