Les résistants tombés au Limbourg NL

Jan Brinkman

Mineur (  piqueur ), né à Koekange [2], un village en province de Drenthe, jusqu’en 1997 commune de De Wijk. Il habitait à Waubach. Travaillait pour le journal du parti De Waarheid [1][2], arrêté le 30 mai 1942. [1][2][5]Des dizaines de distributeurs du De Vonk de Schaesberg, Nieuwenhagen, Heerlen et Ubach over Worms furent arrêtés le samedi 30 mai 1942. Toute l’organisation s’effondre. Plusieurs des personnes arrêtées furent soumises à des interrogatoires extraordinairement durs et sévèrement maltraitées par Richard Nitsch et son chef Max Strobel. [1 p.1003]
De Vonk était un journal du parti, tout comme De Waarheid.
Il était emprisonné dans les camps de concentration d’Amersfoort [3] et de Natzweiler [4.1] avant de finir à Dachau. [2]
Sa veuve déclara en 1973 qu’il fut battu à mort à Dachau. [5]
Jan Brinkman figure dans l’Erelijst 1940-1945 ( liste d’honneur du Parlement néerlandais ). [6]

Notes

1. Dr. F. Cammaert, Het Verborgen Front – Geschiedenis van de georganiseerde illegaliteit in de provincie Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog. Doctorale scriptie 1994, Groningen
   10. De C.P.N. en de illegaliteit Annex VIII, Arrestatie communisten en radicale socialisten 1940-1945
2. ARCH00347.148 Image 5
3. oorlogsbronnen.nl, tijdlijn Jan Brinkman
4. 1. Natzweiler, p.6
   2. Natzweiler
5. Archief Oorlogsgravenstichting (@ Nationaal archief), Dossier • Jan Brinkman #8
6. Erelijst der Gevallenen
7. Oorlogsgravenstichting.nl
8. https://www.stiwotforum.nl/viewtopic.php?p=161326&sid=36b72b3552180288c49898b9970dc75d