Digitaal verzetsmonument Limburg (NL)
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Les noms aux murs

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Limburg 1940-1945,
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Groupes de résistant.e.s au Limbourg néerlandais, 1940-1945

Les groupes qui ont joué un rôle dans la Résistance limbourgeoise ( 1 ), ainsi que les groupes dont certains ( parfois beaucoup ) faisaient partie de la Résistance ( 2 ).


1– « Aussenministerium »
1– BS ( Forces de l’intérieur )
1– Communistes & sympathisants
1– La périphérie du Limbourg
1– Contacts locaux
1– Dutch-Paris
1– Engelandvaarders
1– Armée Secrète (B)
1– Groupe Dresen
1– Groupe Erkens
1– Groupe Smit
1– Aide aux Juifs
1– Aide aux prisonniers de guerre évadés
1– Renseignements
1– Juifs en résistance
1– Groupes de combat (K.P.)
1– Coursiers / coursières de la résistance
1– Réseau Bongaerts
1– NV
1– Aide aux clandestins
1– Presse clandestine
1– Résistance non organisée
1– Les aides-pilotesPour simplifier, tous les membres d’équipage des avions alliés qui se sont écrasés étaient appelés pilotes. Ainsi, les personnes qui les aidaient à rentrer en Angleterre étaient des aides-pilotes.
L’aide aux aviateurs alliés abattus a commencé très tôt, à une échelle modeste. Elle a atteint son apogée en 1943 et 1944, lorsque le nombre de vols de bombardement vers l’Allemagne a augmenté.

Les Alliés

Les bombardiers britanniques lourds étaient le Handley Page Halifax à partir de novembre 1940 [1.1] et l’Avro Lancaster à partir de mars 1942 [1.2].
Le Mosquito était plus léger et très rapide. [1.3]
Le Bomber Command de la R.A.F. commença dès le début de l’année 1941 à lancer des attaques de nuit sur les centres industriels et de population en Allemagne.
Au cours de l’année 1942, les Américains rejoignirent la flotte aérienne avec des bombardiers lourds comme le « Flying Fortress » (Boeing B-17) [1.4] et le « Liberator » (Consolidated B-24) [1.5].
Plus tard, des types plus légers ont également fait leur apparition. Les Américains préféraient voler de jour en raison de leur plus grande précision, tandis que les Britanniques préféraient le vol de nuit.

Les Allemands

Dès octobre 1940, l’armée de l’air allemande commença à agrandir un champ d’aviation de part et d’autre de la frontière, près de Venlo, destiné avant tout à combattre les bombardiers au moyen d’avions de chasse. En mars 1941, la base aérienne agrandie de Venlo-Herongen fut ouverte. [2.1]
En outre, des batteries antiaériennes furent mises en place partout. Suite à la bataille aérienne d’Angleterre [2.2] au début de la guerre, les Britanniques disposaient initialement de trop peu de chasseurs pour protéger leurs bombardiers. De plus, le rayon d’action de ces chasseurs était initialement trop faible, de sorte que les bombardiers lourdauds n’étaient pas protégés juste au-dessus de l’Allemagne. En conséquence, de nombreux avions y furent abattus.
Rien que depuis la base aérienne de Venlo environ 585 avions alliés ont été abattus. Il y eut 2500 morts et prisonniers de guerre du côté allié et 170 morts et blessés du côté allemand. [2.1]

La résistance

Parfois, les membres d’équipage ont eu de la chance, non seulement de survivre en un seul morceau, mais aussi de ne pas tomber entre les mains des Allemands. Cette chance devenait plus grande lorsqu’ils parvenaient à atteindre un territoire occupé et qu’ils cherchaient de l’aide auprès de la population locale. Comme c’était le cas au Limbourg.
Outre les filières d’évasion existantes pour les prisonniers de guerre francophones, que les pilotes utilisaient également, de nouvelles filières vers la Belgique et au-delà ont été construites.
Cela n’a pas posé de problèmes majeurs, car de nombreux aides-pilotes possédaient l’expérience nécessaire, acquise en aidant d’autres réfugiés. D’ailleurs, les lignes de pilotes exclusives n’existaient pratiquement pas. En général, elles étaient également utilisées par des agents de renseignement (et pour transmettre des renseignements), des courriers, des Engelandgangers, des Juifs et des réfugiés politiques. Accueillir, soigner et escorter les aviateurs alliés était plus dangereux et plus difficile que d’aider les prisonniers de guerre évadés. Les forces d’occupation étaient très intéressées à arrêter le pilote et à démanteler l’organisation d’aide. Si l’aviateur réussissait à se faire rapatrier, il pouvait fournir toutes sortes de données sur le réseau international organisé qui l’avait aidé et qui, en général, utilisait également la filière d’évasion pour acheminer des renseignements.
... Toute personne surprise en train d’aider un pilote allié ne bénéficiait d’aucune grâce : elle risquait une peine d’emprisonnement exceptionnellement longue ou la peine de mort.
 [3.1]

L’organisation Luctor et Emergo [3.2] ( plus tard appelée Fiat Libertas ) était l’une des organisations qui incitaient les prisonniers de guerre et les équipages à se cacher et à se rendre en territoire allié.

Le personnel de l’armée de l’air britannique revenu de l’Europe occupée n’est qu’exceptionnellement redéployé sur des missions de bombardement. Dans le cas des squadrons polonais, les redéploiements au-dessus des territoires occupés étaient plus fréquents. Les Américains, par contre, ne les redéploient pa. Mais c’était plus tard. [3.3] -->
1– Raad van Verzet (RVV)
1– Verzetsherdenkingskruis
1– Femmes dans la résistance
1– Carillon de paix -->
1– Résistance initiale
1– Brigade blanche (Belgique)
1– Zwarte Plak
2– Fonctionnaires
2– Grèves d’avril-mai 1943
2– Bourgmestres
2– Crisis Controle Dienst (CCD)
2– Les ecclésiastiques
2– Le travail forcé
2– Artistes
2– Clandestins
2– O.D., service d’ordre
2– Police
2– Étudiant.e.s

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